Jeune conducteur
QUELLES SONT LES PARTICULARITÉS DU PERMIS JEUNE CONDUCTEUR ?
Entré en vigueur le 1er mars 2004, le permis probatoire est un permis de conduire dédié aux jeunes conducteurs. Il présente certaines particularités. D’une part, il intègre un capital de départ de six points au lieu de douze. D’autre part, si le conducteur ne commet pas d’infraction avec retrait de points, le permis acquiert automatiquement des points. Et ce, chaque année sur une durée de trois ans. Cette durée est ramenée à deux ans pour les conducteurs ayant fait la conduite accompagnée (AAC).
En outre, la vitesse du jeune conducteur est réduite. Sur autoroute, elle est fixée à 110 km/h. Sur voie rapide et sur route, entre 80 et 100 km/h. En cas d’alcoolémie, le taux du jeune conducteur est abaissé à 0,2g/l contre 0,5g/l pour les conducteurs avec un permis définitif. Enfin, pendant la durée du permis probatoire, le conducteur a l’obligation d’apposer la « lettre A » pour prévenir les autres usagers de la route. Le A le désigne en tant qu’apprenti conducteur. À défaut, le contrevenant s’expose à une amende de 22 euros.
Un gain d'expérience
L’Apprentissage Anticipé de la Conduite est possible dès l’âge de quinze ans. Ainsi, les jeunes conducteurs qui commencent la formation AAC tôt peuvent “étaler” leurs heures de conduite sur près de trois ans. Ceci leur permet de parcourir bien plus que les 3000 km nécessaires. Par conséquent, ils accumulent davantage de réflexes et d’expérience. La formule permet ensuite de passer son permis de conduire à partir de dix-sept ans et demi. S’il réussit son examen, le jeune conducteur pourra obtenir son permis de conduire probatoire dès son dix-huitième anniversaire.
Une formation payante
Un autre avantage concerne le coût de la conduite accompagnée (AAC). En effet, celle-ci représente un investissement moyen compris entre 1100 euros et 1500 euros. Contre 1800 euros et plus pour l’apprentissage classique. Enfin, la conduite accompagnée permet une meilleure réussite à l’examen du permis de conduire. Dans ce sens, le taux de réussite à l’épreuve pratique du permis de conduire catégorie B en 2021 est supérieur à 88,80 % pour les candidats ayant suivi une formation anticipée à la conduite. Contre 64 % pour les candidats ayant suivi une formation classique.
Permis jeune conducteur
EST-IL POSSIBLE DE RÉDUIRE SA PÉRIODE PROBATOIRE ?
La conduite accompagnée permet déjà de réduire la durée de la période probatoire de trois à deux ans. Mais depuis 2019, les jeunes conducteurs peuvent encore réduire cette durée du permis de conduire probatoire en suivant une formation post-permis d’une durée d’une journée. Celle-ci correspond à sept heures de formation et permet de réduire la période probatoire de deux ans à dix-huit mois. Sur la base du volontariat, cette formation donne aussi l’opportunité de récupérer plus rapidement ses douze points, à condition de ne commettre aucune infraction avec perte de points durant cette période.
Il n’est possible de suivre cette formation qu’entre le sixième et le douzième mois suivant l’obtention du permis de conduire. Impossible donc de la suivre avant ou après cette période précise. De plus, elle ne concerne que les titulaires d’un premier permis B, B1, A1 et A2. Bien entendu, la durée de la période probatoire ne pourra être réduite qu’à la condition qu’aucune infraction entraînant un retrait de point ne soit commise dans ce délai.
Jeune conducteur
COMMENT RÉCUPÉRER SES POINTS EN CAS D’INFRACTION ?
En cas de perte de points durant la période de permis de conduire probatoire, la récupération progressive annuelle de deux points s’interrompt. Le délai de récupération de points est alors remis à zéro pour trois années. Et ce, à compter du dernier retrait de points. De fait, le jeune conducteur devra attendre une durée de trois ans sans infraction pour obtenir un permis à douze points. C’est donc la récupération de points automatique inhérente à l’infraction qui s’applique lorsque le conducteur ne commet plus de contravention ou de délit pendant un délai donné. Six mois, deux ans, trois ans voire dix ans.
En cas de retrait d’un point sur le permis de conduire probatoire, le point est récupéré au terme d’un délai de six mois si aucune infraction n’est commise pendant ce délai. Sinon, ce point est perdu. En cas de retrait de deux points, le conducteur peut suivre de manière volontaire un stage de sensibilisation à la sécurité routière. Ce dernier lui permet de récupérer jusqu’à quatre points. En cas d’infraction ayant entraîné la perte de trois points ou plus, le jeune conducteur doit suivre un stage obligatoire. Autrement dit, un stage de sensibilisation à la sécurité routière. Et ce, dans un délai de quatre mois à réception de la lettre 48N par voie recommandée.
Les avocats du volant
à vos côtés DÈS LES PREMIERS KILOMÈTRES
Maître Elfried Dupuy-Chabin et Maître Serge d’Hers vous conseillent et vous accompagnent dès vos premiers instants à bord de votre voiture ou sur votre deux-roues. Objectif : vous informer précisément sur vos droits en tant que nouvel usager de la route. L’obtention de votre permis jeune conducteur est une étape importante dans votre vie, tout comme elle l’est pour vos proches. Autant mettre tous les atouts de votre côté pour profiter pleinement de votre indépendance en toute sécurité !
Cabinet conseil en droit pénal routier, les avocats du volant mettent à votre service toute leur expertise juridique en la matière quelle que soit la situation que vous rencontrez durant vos premiers kilomètres. Et ce, même dans les cas qui semblent les plus complexes. Par exemple, lorsque plusieurs infractions sont commises simultanément. Ne tardez pas à nous contacter : l’intervention d’un avocat peut changer la donne. Entre autres, lorsqu’il s’agit de préserver votre titre de conduite.
Jeune conducteur
QUELLES SONT LES PARTICULARITÉS DU PERMIS JEUNE CONDUCTEUR ?
Entré en vigueur le 1er mars 2004, le permis probatoire est un permis de conduire dédié aux jeunes conducteurs. Il présente certaines particularités. D’une part, il intègre un capital de départ de six points au lieu de douze. D’autre part, si le conducteur ne commet pas d’infraction avec retrait de points, le permis acquiert automatiquement des points. Et ce, chaque année sur une durée de trois ans. Cette durée est ramenée à deux ans pour les conducteurs ayant fait la conduite accompagnée (AAC).
En outre, la vitesse du jeune conducteur est réduite. Sur autoroute, elle est fixée à 110 km/h. Sur voie rapide et sur route, entre 80 et 100 km/h. En cas d’alcoolémie, le taux du jeune conducteur est abaissé à 0,2g/l contre 0,5g/l pour les conducteurs avec un permis définitif. Enfin, pendant la durée du permis probatoire, le conducteur a l’obligation d’apposer la « lettre A » pour prévenir les autres usagers de la route. Le A le désigne en tant qu’apprenti conducteur. À défaut, le contrevenant s’expose à une amende de 22 euros.
Conduite accompagnée
BÉNÉFICES POUR LE JEUNE CONDUCTEUR
L’Apprentissage Anticipé de la Conduite est possible dès l’âge de quinze ans. Ainsi, les jeunes conducteurs qui commencent la formation AAC tôt peuvent “étaler” leurs heures de conduite sur près de trois ans. Ceci leur permet de parcourir bien plus que les 3000 km nécessaires. Par conséquent, ils accumulent davantage de réflexes et d’expérience. La formule permet ensuite de passer son permis de conduire à partir de dix-sept ans et demi. S’il réussit son examen, le jeune conducteur pourra obtenir son permis de conduire probatoire dès son dix-huitième anniversaire.
Un autre avantage concerne le coût de la conduite accompagnée (AAC). En effet, celle-ci représente un investissement moyen compris entre 1100 euros et 1500 euros. Contre 1800 euros et plus pour l’apprentissage classique. Enfin, la conduite accompagnée permet une meilleure réussite à l’examen du permis de conduire. Dans ce sens, le taux de réussite à l’épreuve pratique du permis de conduire catégorie B en 2021 est supérieur à 88,80 % pour les candidats ayant suivi une formation anticipée à la conduite. Contre 64 % pour les candidats ayant suivi une formation classique.
Permis jeune conducteur
RÉDUIRE SA PÉRIODE PROBATOIRE
La conduite accompagnée permet déjà de réduire la durée de la période probatoire de trois à deux ans. Mais depuis 2019, les jeunes conducteurs peuvent encore réduire cette durée du permis de conduire probatoire en suivant une formation post-permis d’une durée d’une journée. Celle-ci correspond à sept heures de formation et permet de réduire la période probatoire de deux ans à dix-huit mois. Sur la base du volontariat, cette formation donne aussi l’opportunité de récupérer plus rapidement ses douze points, à condition de ne commettre aucune infraction avec perte de points durant cette période.
Il n’est possible de suivre cette formation qu’entre le sixième et le douzième mois suivant l’obtention du permis de conduire. Impossible donc de la suivre avant ou après cette période précise. De plus, elle ne concerne que les titulaires d’un premier permis B, B1, A1 et A2. Bien entendu, la durée de la période probatoire ne pourra être réduite qu’à la condition qu’aucune infraction entraînant un retrait de point ne soit commise dans ce délai.
Jeune conducteur
COMMENT RÉCUPÉRER SES POINTS EN CAS D’INFRACTION ?
En cas de perte de points durant la période de permis de conduire probatoire, la récupération progressive annuelle de deux points s’interrompt. Le délai de récupération de points est alors remis à zéro pour trois années. Et ce, à compter du dernier retrait de points. De fait, le jeune conducteur devra attendre une durée de trois ans sans infraction pour obtenir un permis à douze points. C’est donc la récupération de points automatique inhérente à l’infraction qui s’applique lorsque le conducteur ne commet plus de contravention ou de délit pendant un délai donné. Six mois, deux ans, trois ans voire dix ans.
En cas de retrait d’un point sur le permis de conduire probatoire, le point est récupéré au terme d’un délai de six mois si aucune infraction n’est commise pendant ce délai. Sinon, ce point est perdu. En cas de retrait de deux points, le conducteur peut suivre de manière volontaire un stage de sensibilisation à la sécurité routière. Ce dernier lui permet de récupérer jusqu’à quatre points. En cas d’infraction ayant entraîné la perte de trois points ou plus, le jeune conducteur doit suivre un stage obligatoire. Autrement dit, un stage de sensibilisation à la sécurité routière. Et ce, dans un délai de quatre mois à réception de la lettre 48N par voie recommandée.
Les avocats du volant
À VOS CÔTÉS DÈS LES PREMIERS KILOMÈTRES
Maître Elfried Dupuy-Chabin et Maître Serge d’Hers vous conseillent et vous accompagnent dès vos premiers instants à bord de votre voiture ou sur votre deux-roues. Objectif : vous informer précisément sur vos droits en tant que nouvel usager de la route.
L’obtention de votre permis jeune conducteur est une étape importante dans votre vie, tout comme elle l’est pour vos proches. Autant mettre tous les atouts de votre côté pour profiter pleinement de votre indépendance en toute sécurité !
Les avocats du volant mettent à votre service toute leur expertise juridique. Et ce, même dans les situations qui semblent les plus complexes. Par exemple, lorsque plusieurs infractions sont commises simultanément. Ne tardez pas à nous contacter : l’intervention d’un avocat peut changer la donne. Entre autres, lorsqu’il s’agit de préserver votre titre de conduite.
Jeune conducteur
QUELLES SONT LES PARTICULARITÉS DU PERMIS JEUNE CONDUCTEUR ?
Entré en vigueur le 1er mars 2004, le permis probatoire est un permis de conduire dédié aux jeunes conducteurs. Il présente certaines particularités. D’une part, il intègre un capital de départ de six points au lieu de douze. D’autre part, si le conducteur ne commet pas d’infraction avec retrait de points, le permis acquiert automatiquement des points. Et ce, chaque année sur une durée de trois ans. Cette durée est ramenée à deux ans pour les conducteurs ayant fait la conduite accompagnée (AAC).
En outre, la vitesse du jeune conducteur est réduite. Sur autoroute, elle est fixée à 110 km/h. Sur voie rapide et sur route, entre 80 et 100 km/h. En cas d’alcoolémie, le taux du jeune conducteur est abaissé à 0,2g/l contre 0,5g/l pour les conducteurs avec un permis définitif. Enfin, pendant la durée du permis probatoire, le conducteur a l’obligation d’apposer la « lettre A » pour prévenir les autres usagers de la route. Le A le désigne en tant qu’apprenti conducteur. À défaut, le contrevenant s’expose à une amende de 22 euros.
Conduite accompagnée
BÉNÉFICES POUR LE JEUNE CONDUCTEUR
Un gain d'expérience
L’Apprentissage Anticipé de la Conduite est possible dès l’âge de quinze ans. Ainsi, les jeunes conducteurs qui commencent la formation AAC tôt peuvent “étaler” leurs heures de conduite sur près de trois ans. Ceci leur permet de parcourir bien plus que les 3000 km nécessaires. Par conséquent, ils accumulent davantage de réflexes et d’expérience. La formule permet ensuite de passer son permis de conduire à partir de dix-sept ans et demi. S’il réussit son examen, le jeune conducteur pourra obtenir son permis de conduire probatoire dès son dix-huitième anniversaire.
Une formation payante
Un autre avantage concerne le coût de la conduite accompagnée (AAC). En effet, celle-ci représente un investissement moyen compris entre 1100 euros et 1500 euros. Contre 1800 euros et plus pour l’apprentissage classique. Enfin, la conduite accompagnée permet une meilleure réussite à l’examen du permis de conduire. Dans ce sens, le taux de réussite à l’épreuve pratique du permis de conduire catégorie B en 2021 est supérieur à 88,80 % pour les candidats ayant suivi une formation anticipée à la conduite. Contre 64 % pour les candidats ayant suivi une formation classique.
Permis jeune conducteur
EST-IL POSSIBLE DE RÉDUIRE SA PÉRIODE PROBATOIRE ?
La conduite accompagnée permet déjà de réduire la durée de la période probatoire de trois à deux ans. Mais depuis 2019, les jeunes conducteurs peuvent encore réduire cette durée du permis de conduire probatoire en suivant une formation post-permis d’une durée d’une journée. Celle-ci correspond à sept heures de formation et permet de réduire la période probatoire de deux ans à dix-huit mois. Sur la base du volontariat, cette formation donne aussi l’opportunité de récupérer plus rapidement ses douze points, à condition de ne commettre aucune infraction avec perte de points durant cette période.
Il n’est possible de suivre cette formation qu’entre le sixième et le douzième mois suivant l’obtention du permis de conduire. Impossible donc de la suivre avant ou après cette période précise. De plus, elle ne concerne que les titulaires d’un premier permis B, B1, A1 et A2. Bien entendu, la durée de la période probatoire ne pourra être réduite qu’à la condition qu’aucune infraction entraînant un retrait de point ne soit commise dans ce délai.
Jeune conducteur
COMMENT RÉCUPÉRER SES POINTS EN CAS D’INFRACTION ?
En cas de perte de points durant la période de permis de conduire probatoire, la récupération progressive annuelle de deux points s’interrompt. Le délai de récupération de points est alors remis à zéro pour trois années. Et ce, à compter du dernier retrait de points. De fait, le jeune conducteur devra attendre une durée de trois ans sans infraction pour obtenir un permis à douze points. C’est donc la récupération de points automatique inhérente à l’infraction qui s’applique lorsque le conducteur ne commet plus de contravention ou de délit pendant un délai donné. Six mois, deux ans, trois ans voire dix ans.
En cas de retrait d’un point sur le permis de conduire probatoire, le point est récupéré au terme d’un délai de six mois si aucune infraction n’est commise pendant ce délai. Sinon, ce point est perdu. En cas de retrait de deux points, le conducteur peut suivre de manière volontaire un stage de sensibilisation à la sécurité routière. Ce dernier lui permet de récupérer jusqu’à quatre points. En cas d’infraction ayant entraîné la perte de trois points ou plus, le jeune conducteur doit suivre un stage obligatoire. Autrement dit, un stage de sensibilisation à la sécurité routière. Et ce, dans un délai de quatre mois à réception de la lettre 48N par voie recommandée.
Les avocats du volant
À VOS CÔTÉS DÈS LES PREMIERS KILOMÈTRES
Maître Elfried Dupuy-Chabin et Maître Serge d’Hers vous conseillent et vous accompagnent dès vos premiers instants à bord de votre voiture ou sur votre deux-roues. Objectif : vous informer précisément sur vos droits en tant que nouvel usager de la route. L’obtention de votre permis jeune conducteur est une étape importante dans votre vie, tout comme elle l’est pour vos proches. Autant mettre tous les atouts de votre côté pour profiter pleinement de votre indépendance en toute sécurité !
Cabinet conseil en droit pénal routier, les avocats du volant mettent à votre service toute leur expertise juridique en la matière quelle que soit la situation que vous rencontrez durant vos premiers kilomètres. Et ce, même dans les cas qui semblent les plus complexes. Par exemple, lorsque plusieurs infractions sont commises simultanément. Ne tardez pas à nous contacter : l’intervention d’un avocat peut changer la donne. Entre autres, lorsqu’il s’agit de préserver votre titre de conduite.